samedi 2 avril 2011

Famille 5 Bihain Wolwertz

L'organigramme de l'ascendance de Catherine Wolwertz (1882-1962) est accessible par la rubrique "Famille 4 Wolwertz Collard"
Catherine Wolwertz (1882-1962) et Joseph Bihain (1880-1955)

Catherine Wolwertz (1882-1962)et son balai


A1. Catherine Bihain  A2. .... A3. Joseph Bihain
B1. Catherine Wolwertz

Famille Bihain.
A1. Marie, A2.Joseph(papa), A3. Catherine (maman), A4. Josiane Bihain,A5 Esther, A6. Lucie
B1.Angèle, B2. Maria (ménagère de l'abbé Bihain), B3Catherine, B5. Joseph

Famille Bihain Wolwertz
A1. Lucie, A2.Angèle, A3.Jules Englebert, A4.Catherine(maman),A5.Joseph(papa), A6. Marie, A7.Armel Lengler, A8.Catherine, A9. Guillaume Englebert
B1. René Bihain, B2. Joseph Englebert, B3. Jean Bihain

A1.Catherine Wolwertz. A2.Lucie Bihain. A3.Catherine Bihain. A4. René Bihain
Famille Bihain
A1.Joseph, A2. Joseph(papa) A3. Jules Englebert, A4.Armel Lengler, A5. Joseph Englebert
B1.Marie, B2, Marcel Lengler, B3. Lucie, B4. Catherine (maman), B5. Jen-Marie Lengler, B6. Catherine, B6. Angèle
Famille Bihain Wolwertz
A1.Marcel Lengler, A2.Marie, A3.Angele, A4. Catherine, A5.Lucie
B1. Catherine (maman), B2.René Bihain, B3. Joseph Englebert, B4. Jean Bihain, B5.Joseph (papa)

Famille Bihain Wolwertz
A1. ..., A2.Catherine, A3.Marie, A4 Catherine (maman), A5. Catherine, A6.Esther Gerard, A7. Joseph
B1. Irène Lengler, B2..Josiane, B3.André, B4. Jean-Marie Lengler
A1.Marie, A2. Lucie Bihain, A3.Joseph Bihain (papa), A4. Joseph Bihain

Famille Bihain
A1 Catherine Bihain, A2 Jean-Marie Lengler, A3 Catherine Wolwertz, A4 Josiane Bihain, A5 Esher Gérard, A6 Joseph Bihain, A7 René Bihain. B1 André Bihain


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G6. Famille ENGLEBERT - BIHAIN
A1. Englebert Guil.Jean, A2. Bihain Angèle
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G6. Voir rubrique de la "Famille6 LENGLER - BIHAIN"
Jean-Marie Lengler, fin juillet 2006 à Brisy
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Le curé Bihain, publié par le Segnia de Houffalize
in memoriam
   Monsieur l’Abbé BIHAIN, né à Brisy le 18 avril 1913 est décédé à Laneuville-Wideumont, où il fut curé durant 45 ans, le 23 septembre 1984. Auparavant, il avait été vicaire à Bastogne puis à Virton.
- Il fut un des amis et des membres du cercle SEGNIA depuis sa fondation en 1955. En 1981, il nous rendit visite, pour l’ultime fois, au Châteu des Moudreux, qui lui rappelait les jeux de l’enfance quand il venait faire rouler les pierres des ruines jusque dans la vallée.
- Là,  comme sur les autres chantiers, il devenait éloquent, plein de souvenirs, plein d’évocations, car il affabulait avec une verve rapide, agrémentant le réel des fruits de ses lectures et de son imagination facile. Cher Abbé, je ne vous ai cependant jamais entendu prêcher !
- Il fut archéologue, fouilleur sur le terrain plus que docte prosateur. Il a ramené au jour le mobilier funéraire de trois cimetières gallo-romains de notre Luxembourg : en 1942-1943, 18 tombes furent fouillées à Sainte-Marie-Laneuville, en 1955, avec son confrère l’Abbé GRAVET, 169 tombes à Remagne et à Rondu, en 1960, 24 tombes.
- Les collections personnelles de l’Abbé Bihain ont été généreusement confiées à notre cercle par sa famille, que nous remercions très chaleureusement.
- Nous nous permettons de rappeler que M. Yves Frémault du centre National de Recherches archéologiques de Belgique a publié en 1966 le répertoire de cette collection jointe à celle confiée au Fourneau Saint-Michel à Saint-Hubert.
- En 1965, du 25 juillet au 7 août, M. l’Abbé BIHAIN avait prêté à notre Cercle une partie de ses collections lors de l’exposition consacrée, à Houffalize, aux « Etapes historiques de l’Ardenne – Ourthe ».
- Si vous passez un jour par Sommerain, allez vous recueillir au cimetière où il est revenu parmi les siens.

T.  IX. Fasc. 3   (nov.84)

Le Curé Bihain à Virton en 1934
Anecdote 4. Le curé Bihain : 
Sa maman "Catherine" disait en wallon " Avou nosse vèråt, nos-avans fêt on curé".(En français: Avec notre verrat nous avons fait un curé)
Explication : L'enseignement était coûteux et les longues études représentaient un coût que la maman avait évalué à l'équivalent de ce que rapportait les saillies payantes du verrat de la ferme

Anecdote 17. Le petit Beth  
Joseph Bihain (né en 1878) surnommé « le petit Beth » et sa sœur  Eugénie vivent à Brisy. Ils sont célibataires et propriétaires de la ferme située au carrefour des routes de Sommerain et Cetturu. Comme son surnom le dit, il n’est pas de grande taille, mais il dispose déjà d’un capital financier et joue à la bourse. C’est par le téléphone du village qu’il communique ses ordres suivant les conseils de son notaire. A cette époque il n’y a pas de faucheuse ni autre engin plus évolué et les blés sont coupés à la faux. Il aime les fleurs, particulièrement les coquelicots, rouges et fragiles, mais capables de se hisser plut haut que les céréales. Il évite de les couper et les contourne. Un triste accident survient dans la grange de la ferme Lambert le 14.07.1936 (diagonalement opposée au carrefour par rapport à son habitation) Écrasé lors du déplacement d’un char de denrées, il décède rapidement. Pour les obsèques, le corps sous cercueil est transporté comme à l’époque sur un tombereau tiré par un cheval de trait. En pareil cas, les villageois suivent à pieds jusqu’au cimetière de Sommerain. Chemin faisant ils passent « al longue roye » devant la parcelle qu’il avait précédemment fauchée. Les participants ont le regard attiré par les coquelicots, inclinés et toujours sur pied qui semblent le remercier et le saluent jusqu’à sa dernière demeure. Voir "petit Beth" sur la photo de mariage de "Famille 6 Remy Melchior"

Anecdote 19 : Les corbillards du passé
Joseph Bihain époux de Catherine Wolwertz est le dernier habitant du village de Brisy à avoir été emmené au cimetière sur un tombereau tiré par un cheval, c’était en 1955, il neigeait. Ensuite ce fut la Jeep Wyllis (modèle 1946, achetée d’occasion en 1952) de Joseph Remy qui pris le relais, elle emmena  Joseph Strape en 1956 , le siège passager avait été démonté pour poser le cercueil.
Pour bénir le mort en sa demeure de vie, le curé venait à pied de Sommerain par le chemin passant derrière l’école. Les paroissiens le suivaient à pied derrière le cercueil jusqu’à Sommerain où sont enterrés les Brioties. 

2 commentaires:

  1. Je m'appelle Jean-Marie Lengler et je n'habite pas loin de Brisy mais je ne suis pas le Jean-Marie Lengler de Brisy qui se trouve sur les photos.
    C'est le fils de Marie et Jean Lengler (Voye do faylle à Limerlé) cousin de mon père Jules Lengler tous deux aujourd'hui décédés et originaires de Limerlé commune de Gouvy.

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  2. Je m'appelle Jean-Marie Lengler (celui du commentaire précédent). email: jmlengler@gmail.com

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